Poème d’amitié pour un homme
Poème pour lui
Il ma prise entre ces bras,
Il été solide comme un guerrier,
Il m’a parle je t’aime,
Quand il m’exprimait tout p’tit,
Il me faisait rêver de chocolat,
Il me faisait rire aux éclats,
Il m’a dit je t’aime,
Quand il est mort ce jour la,
Il m’a tendit ses doux bras,
Il m’a chuchoté tout bas,
Il m’a dit je t’aime…
Amitié entre homme et femme.
Quand tombe le jour
J’ai vu un de mes rêves
Qui passait tout près de moi
Comme si de rien n’était
Comme s’il ne m’appartenait pas
Et à bout de souffle
Par une force qui m’était à ce jour inconnu
J’accourus pour le ressaisir
Mais avec le temps
Tout fini par nous échapper
La vie comme l’amour
Déchiré, détruit, ruiné
À cet instant,
Ils n’étaient plus
Ce rêve,
Cette illusion parfaite
Qu’un jour tu m’appartiendrais
Jennifer Savoie
Poème d’amitié pour homme
Je me sens coupable
Je le voyais.
C’était écrit,
Mais j’ai tout laissé dans l’oubli.
J’ai fermé les yeux,
C’est trop tard pour te dire adieu.
Si j’avais écouté mon cœur,
Je ne ressentirais pas cette rancœur.
Je savais,
Que tu partirais.
Je savais,
Que je m’en voudrais.
Il y avait des indices,
Mais maintenant tu es au fond du précipice.
Pourquoi ai-je tout ignoré ?
Et avancé tête baissée ?
Je t’ai laissé sauter,
Sans même m’en préoccuper.
Je ne te pensais pas capable
Je me sens coupable.
Je sais bien que ce poème,
N’est que blasphème.
Car malgré mes regrets,
Jamais je ne te reverrai
POUR NE PAS MOURIR
Rêver pour ne pas mourir,
Survivre pour se souvenir
De ton regard de ton sourire,
Imaginé tes cheveux de jais,
Rêver pour ne pas mourir…
Chercher d’autres visages,
Fuir tout ce qui n’est pas ton visage,
Découvrir un autre regard, avec tes sourires
Charmants, pour ne pas mourir
De ton absence qui me ravage,
Pleurer pour ne pas mourir…
Dans mon âme et dans mon cœur à la dérive,
Tu es ancrée toute en moi, ça me ravive
De te l’écrire pour ne pas mourir,
Je frissonne de chagrin de te souffrir,
Ton dédain doit te faire rire…
Respirer ton parfum d’opium dans l’air,
Sentir ta peau pour ne pas mourir,
Humer toutes tes odeurs dans l’atmosphère
Frôler tes cheveux sur mes doigts, ils adhèrent
Sur mes lèvres, ils s’accrochent sur ma bouche, prisonnière
En dévotion pour ne pas mourir…
Tous mes pas avancent sur ton chemin,
Tu ne me vois plus ; de moi ton oubli est déjà loin,
T’attendre depuis des années pour la vie, ne sert à rien ;
Je survis à t’attendre pour ne pas mourir ;
Tu ne réponds plus à mes appels, mon enfer est sans fin,
Je t’écris, je peins aussi pour tenter de ne pas mourir…
Georges Adrien PARADIS à Limoux le 11 juin 2011 à 00h00